Présentation
Le fonds Sunny Patrimoine 2.0 est géré par Etienne de Marsac depuis le 1er janvier 2020.
L’environnement des marchés financiers a été bouleversé par les politiques de Quantitative Easing, leur implémentation et maintenant leur sortie avec pour toile de fonds une inflation structurellement beaucoup plus élevée ; rendant moins pertinents les process d’allocation par classes d’actifs. C’est la fin des « années simples » et le grand retour de la volatilité nécessitant de mettre en place une gestion décorrélée des actifs traditionnels.
En revanche les besoins exprimés par nos clients restent identiques : trouver des solutions d’investissement leur permettant de générer de la performance absolue positive dans les phases haussières, baissières ou volatiles de marché.
C’est pour répondre à cette attente que nous avons créé Sunny Patrimoine 2.0. Ce n’est pas un fonds diversifié traditionnel dans lequel on ferait de l’allocation entre classes d’actifs, notamment action et taux d’intérêt. C’est un fonds patrimonial nouvelle génération qui vous fait passer d’une allocation par classes d’actifs à une allocation par thèmes de gestion.
Sunny Patrimoine 2.0, c’est donc un fond multithématique qui cherche à capter des tendances ou à se positionner très en amont de tendances, plutôt concentré autour des thèmes, des vues du gérant.
Les thèmes du fonds peuvent s’exprimer sur un large panel d’actifs (crédit, indices actions, taux d’intérêt, devises, matières premières) au travers de stratégies qui ne sont pas que directionnelles longues. Le fonds a recours à des instruments modernes (options, contrats futurs, CDS…)
Le fonds peut être en sensibilité négative, il bénéficie d’une large plage de sensibilité (-6/+10). Il déploie des stratégies qui peuvent être long, short, ou encore des stratégies de valeur relative.
La gestion du risque au centre d’une gestion patrimoniale.
Sunny AM a fait le choix d’implémenter une gestion fine du risque, conforme aux normes strictes du secteur bancaire, en s’entourant du conseil de Chappuis Halder. Ainsi, la gestion du risque, centrale dans le process, s’appuie notamment sur une méthode novatrice de calcul de pertes extrêmes probabilisées (la CVaR), qui viendra utilement compléter la Value at Risk (VaR).
C’est ce qui marque l’originalité du fonds dans son univers concurrentiel, d’où son appellation 2.0.
