La Cour de Karlsruhe aura-t-elle raison des QE ?

En s’invitant dans le grand débat sur les programmes d’assouplissements dits “Quantitatifs”, la cour constitutionnelle allemande a semé une belle pagaille et soulevé une bronca au sein des capitales européennes, faisant réagir ni plus ni moins que :

– Jens Weidmann, president de la Bundesbank – Vitor Constancio, ex VP de la BCE sous l’ère Draghi
– ou dernièrement la commission européenne, menaçant les juges de poursuites.

Retrouvez nos brèves analyses sur BFM en compagnie d’Etienne de Marsac, ex cadre de la Banque Européenne d’Investissement :

• Il s’agit moins d’une question de “primauté” du droit européen sur le droit national, que de limites de compétences.

• La question est de voir si la BCE et la CJUE n’ont pas outrepassé les compétences confiées à l’UE par les Etat”, comme le souligne PE Partsch du cabinet Arendt.

•L’arrêt ne remet pas en cause le plan d’achat de dettes de la BCE suite à la crise financière générée par le Covid-19, mais elle le fragilise.

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